Normandie : album photo (missions 9 à 14)
Publié : 18 juin 2012, 22:20
Missions 9 à 14
Comme vous le savez (depuis le temps...), je suis un grand nostalgique. Et si je n'ai pas le temps de faire, comme je le voudrais, un debriefing en images à chaque coup, ça ne m'empêche pas de prendre quelques screens histoire d'immortaliser les missions. Alors en voilà quelques-uns histoire de nous remémorer nos excursions au-dessus de la Manche...
Difficile de ne pas reconnaître, du premier coup d'oeil, Nyv et sa célèbre chemise porte-bonheur. Décollage matinal et début de l'Opération Screwball (M9)...
...qui consistait, en toute simplicité, à réduire en miette les installations radar allemandes de toute la Normandie.
Et qui donna lieu à une réplique de Nyv, devenue non moins célèbre que sa chemise : "Attendez, faut quand même reconnaître que vu de dos, un Spit' ressemble quand même vachement à Focke-Wulfe..."
A bord du Spit' tombé sous les balles de P-47 se trouvait, manque de bol, le fils d'une huile britannique. Ce qui amena Nyv (accompagné de Partizan, Bed et Horton), à se porter tout naturellement volontaire pour piloter le Catalina parti pour le repêcher... Et sous les balles ennemies, tant qu'à faire...
Et l'opération de secours tourna à l'empoignade... Erel se fit surprendre par le vil Oberleutnant von KriegSchwein, tandis qu'à la radio, des échanges mémorables moitié langue de Shakespeare, moitié langue de Goethe, animaient les combats...
Baptême du feu pour l'oisillon Vaught, qui, pour sa première sortie, s'est vu confié la tâche de veiller sur ce Catalina qui, a force de manger du plomb, a dû se reconvertir en hovercraft pour rallier les côtes anglaises...
Quelques jours plus tard (M10), la Luftwaffe tenta un raid sur les aérodromes britanniques. Lampatex s'offre un "Mission Kill" sur un Bf-110.
L'intervention américaine coûtera près d'une quinzaine d'appareils à la Luft'...
...mais ne put empêcher la base de Tangmere d'être défigurée par les bombes.
Il ne faut y voir aucune rancune, seulement une coïncidence quand, quelques jours plus tard, la décision fut prise de lancer un assaut massif sur l'aérodrome de Caen-Carpiquet (M12). On voit ici 2Pattes dans son exercice favori, le bombardement en semi-piqué.
Sous les yeux de Jumper et Erel, la première vague vient de passer. Et ça se voit...
Et hop, une deuxième couche, des fois qu'il resterait encore des appareils intacts... Si, si, j'aurais juré avoir aperçu un Storch encore en état de voler ! Banzaï !
Le 12 avril 1944, le 361st était appelé pour une mission spéciale : offrir un soutien aérien à une opération menée par la Résistance française, visant à libérer des prisonniers (M13)...
Ce qui implique de prendre tous les risques pour protéger leurs fragiles véhicules d'évacuation des bombardiers allemands. Pour illustrer l'expression "tous les risques", on peut compter sur le Gnou...
Dans le même temps, un second groupe se chargeait de casser les beaux et nouveaux jouets d'Hitler, de gros V1 dont les rampes de lancement étaient bien planquées au milieu d'une forêt...
Une double mission épique au terme de laquelle bon nombre de pilotes du 361st ne sont pas rentrés, tandis que d'autres, comme 2Pattes, se demandent encore comment ils y sont parvenus...
Parmi les prisonniers libérés par la Résistance, plusieurs pilotes britanniques et américains. Suffisamment, en tout cas, pour organiser une mission d'extraction nocturne, l'Opération "Fast Cider" (M14). Deux B-25 "empruntés" par Nyv et Warpig et escortés par une poignée de P-47 s'élancent en pleine nuit et traversent la Manche à basse altitude...
...survolent la Normandie à la recherche du point de rendez-vous...
...avant de se poser sur un terrain de fortune aménagé par la Résistance. Le mitrailleur de tête a, paraît-il, transpiré plus d'eau qu'un corps humain est censé abriter.
Hop, l'express France-Angleterre est prêt à décoller, on ne traîne pas pour embarquer s'il-vous-plaît. Non, y a pas d'hôtesse à bord, mais montez quand même, il y a de la bière brune et des chips au vinaigre dans la soute à bombes...
Comme vous le savez (depuis le temps...), je suis un grand nostalgique. Et si je n'ai pas le temps de faire, comme je le voudrais, un debriefing en images à chaque coup, ça ne m'empêche pas de prendre quelques screens histoire d'immortaliser les missions. Alors en voilà quelques-uns histoire de nous remémorer nos excursions au-dessus de la Manche...
Difficile de ne pas reconnaître, du premier coup d'oeil, Nyv et sa célèbre chemise porte-bonheur. Décollage matinal et début de l'Opération Screwball (M9)...
...qui consistait, en toute simplicité, à réduire en miette les installations radar allemandes de toute la Normandie.
Et qui donna lieu à une réplique de Nyv, devenue non moins célèbre que sa chemise : "Attendez, faut quand même reconnaître que vu de dos, un Spit' ressemble quand même vachement à Focke-Wulfe..."
A bord du Spit' tombé sous les balles de P-47 se trouvait, manque de bol, le fils d'une huile britannique. Ce qui amena Nyv (accompagné de Partizan, Bed et Horton), à se porter tout naturellement volontaire pour piloter le Catalina parti pour le repêcher... Et sous les balles ennemies, tant qu'à faire...
Et l'opération de secours tourna à l'empoignade... Erel se fit surprendre par le vil Oberleutnant von KriegSchwein, tandis qu'à la radio, des échanges mémorables moitié langue de Shakespeare, moitié langue de Goethe, animaient les combats...
Baptême du feu pour l'oisillon Vaught, qui, pour sa première sortie, s'est vu confié la tâche de veiller sur ce Catalina qui, a force de manger du plomb, a dû se reconvertir en hovercraft pour rallier les côtes anglaises...
Quelques jours plus tard (M10), la Luftwaffe tenta un raid sur les aérodromes britanniques. Lampatex s'offre un "Mission Kill" sur un Bf-110.
L'intervention américaine coûtera près d'une quinzaine d'appareils à la Luft'...
...mais ne put empêcher la base de Tangmere d'être défigurée par les bombes.
Il ne faut y voir aucune rancune, seulement une coïncidence quand, quelques jours plus tard, la décision fut prise de lancer un assaut massif sur l'aérodrome de Caen-Carpiquet (M12). On voit ici 2Pattes dans son exercice favori, le bombardement en semi-piqué.
Sous les yeux de Jumper et Erel, la première vague vient de passer. Et ça se voit...
Et hop, une deuxième couche, des fois qu'il resterait encore des appareils intacts... Si, si, j'aurais juré avoir aperçu un Storch encore en état de voler ! Banzaï !
Le 12 avril 1944, le 361st était appelé pour une mission spéciale : offrir un soutien aérien à une opération menée par la Résistance française, visant à libérer des prisonniers (M13)...
Ce qui implique de prendre tous les risques pour protéger leurs fragiles véhicules d'évacuation des bombardiers allemands. Pour illustrer l'expression "tous les risques", on peut compter sur le Gnou...
Dans le même temps, un second groupe se chargeait de casser les beaux et nouveaux jouets d'Hitler, de gros V1 dont les rampes de lancement étaient bien planquées au milieu d'une forêt...
Une double mission épique au terme de laquelle bon nombre de pilotes du 361st ne sont pas rentrés, tandis que d'autres, comme 2Pattes, se demandent encore comment ils y sont parvenus...
Parmi les prisonniers libérés par la Résistance, plusieurs pilotes britanniques et américains. Suffisamment, en tout cas, pour organiser une mission d'extraction nocturne, l'Opération "Fast Cider" (M14). Deux B-25 "empruntés" par Nyv et Warpig et escortés par une poignée de P-47 s'élancent en pleine nuit et traversent la Manche à basse altitude...
...survolent la Normandie à la recherche du point de rendez-vous...
...avant de se poser sur un terrain de fortune aménagé par la Résistance. Le mitrailleur de tête a, paraît-il, transpiré plus d'eau qu'un corps humain est censé abriter.
Hop, l'express France-Angleterre est prêt à décoller, on ne traîne pas pour embarquer s'il-vous-plaît. Non, y a pas d'hôtesse à bord, mais montez quand même, il y a de la bière brune et des chips au vinaigre dans la soute à bombes...